La photographie culinaire

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Si la photographie culinaire vous intéresse, ne manquez surtout pas mon nouveau blog La photo culinaire.
Vous y trouverez tous mes conseils pour faire de vos images culinaires de véritables tableaux gourmands !
Pour y accéder, cliquez-ici.

J’avais écrit mon premier article sur la photographie culinaire en décembre 2009. Depuis, mes connaissances en matière de photographie ont évolué et il était temps que je réalise un nouvel article bien plus complet à ce sujet. Je sais que cela intéresse beaucoup d’entre vous et que vous souhaitez vous améliorer pour votre blog.

Comme je l’ai déjà dit, un blog de cuisine doit être à l’image d’un livre de cuisine : la qualité des photos est très importante pour donner aux lecteurs l’envie de rester sur votre blog et de les amener à tester vos recettes.

Je vais aborder cet article sous un angle plus technique en vous proposant quelques exercices pratiques.

Voici le sommaire :

Choix du matériel

Faisons un petit tour d’horizon des types d’appareils photo proposés sur le marché.

Les compacts

Le compact est l’appareil photo destiné tout public. Il est très simple d’utilisation, petit et léger. On peut l’emporter partout avec soi. Ce type d’appareil est plutôt conseillé  aux personnes souhaitant prendre en main facilement un appareil photo et réaliser des photos souvenirs.

Dans la gamme des compacts, on trouve de nombreuses références. Il y en a pour tous les budgets et tous les niveaux. Avec les appareils bas de gamme, les commandes sont simplifiées au maximum : pas de réglages, vous n’avez qu’à appuyer. Plus haut de gamme, ces appareils sont plus chers mais ils offrent une bonne qualité d’image.

Avec ces appareils, on prend généralement les photos à bout de bras. Il est donc plus facile d’obtenir une photo un peu floue car il n’y a pas de stabilité. Il n’est pas non plus possible de changer d’objectifs.

Les compacts à objectifs interchangeables

Il existe dorénavant des marques qui proposent des compacts à objectifs interchangeables. Vous avez donc les avantages du compact en rajoutant à cela la possibilité de changer d’objectifs selon vos besoins.

Les bridges

Le bridge se trouve à mi chemin entre le compact et le reflex. Il a la taille d’un reflex mais ne peut pas changer d’objectifs.

Ces appareils coûtent chers et restent limités dans leur utilisation. Préférez plutôt prendre un compact ou un reflex.

Les reflex

Les reflex sont faits pour les amoureux de la photo. Ces appareils sont certes encombrants et lourds mais la qualité est au rendez-vous. Il existe différentes gammes d’appareil photo, toutes ne se valent bien évidemment pas.

Ce n’est pas parce que vous achetez un reflex que vos photos seront forcément plus belles. Si vous l’utilisez, par exemple, en mode automatique ou si vous ne savez tout simplement pas l’utiliser, vos photos pourraient ressembler à celles d’un compact !

Il faut savoir que le choix du boîtier est important mais pas aussi important que le choix des objectifs. Ce sont surtout eux qui vont apporter une qualité en plus.

Ce genre d’appareil s’adresse aux personnes qui s’intéressent à la photo et qui souhaitent évoluer.

Gestion de la lumière

La gestion de la lumière est une partie très importante de cet article. Tout comme un musicien a besoin d’un instrument ou un peintre a besoin de peinture, le photographe, lui, a besoin de lumière. Il est donc indispensable de comprendre comment fonctionne votre appareil photo. N’hésitez pas à consulter votre mode d’emploi pour savoir comment modifier ces réglages. Cependant, sachez que les modes automatiques ne vous permettront pas de les gérer. D’ailleurs, si vous souhaitez continuer à utiliser les modes automatiques, cet article n’est pas pour vous. 😉

L’exposition

L’exposition correspond à la luminosité de votre image. Lorsque vous appuyez sur le déclencheur, il y a une sorte de rideau métallique (que l’on appelle obturateur) qui s’ouvre pour laisser passer de la lumière et qui vient exposer la surface photosensible (capteur numérique ou film pour les argentiques) de l’appareil photo.

S’il n’y a pas assez de lumière, la photo sera sombre : on dit, dans ce cas, que la photo est sous-exposée.

S’il y a trop de lumière, la photo sera trop lumineuse, les blancs seront « cramés » : on dit que la photo est surexposée.

Voici en images un exemple d’une photo sous-exposée / correctement exposée / surexposée :

Beaucoup d’appareils photo proposent la correction de l’exposition (mais pas tous). Elle se symbolise sur votre écran de cette façon :

C’est une fonction très utile qui me permet de gérer l’exposition comme je l’entends.

Le curseur indique, en fonction de la vitesse et de l’ouverture, si votre image sera sous-exposée (à gauche du 0), correctement exposée (sur le 0) ou surexposée (à droite du 0). Cependant, l’appareil photo n’est pas toujours fiable. Vous aurez alors à déplacer le curseur plus ou moins pour obtenir la bonne exposition.

La juste exposition va être déterminée en fonction de 3 facteurs :

  • La vitesse
  • L’ouverture
  • L’ISO

Voici un schéma expliquant comment ça marche dans votre appareil photo :

La vitesse

On l’appelle aussi « vitesse d’obturation » ou « temps de pose ». Elle s’exprime en secondes (1s, 2s…) ou en fraction de secondes (1/4000, 1/2500, 1/250…). Cette vitesse détermine le temps que l’appareil va mettre pour faire la photo. Plus techniquement, elle correspond au temps que l’obturateur va mettre à s’ouvrir et se refermer pour laisser passer la lumière.

Si la vitesse est très rapide, l’obturateur s’ouvre et se referme très vite et la lumière a peu de temps pour entrer dans l’appareil photo.

Au contraire, si la vitesse est très lente, l’obturateur s’ouvre et se referme lentement et la lumière a beaucoup plus de temps pour entrer.

L’ouverture (le diaphragme)

Le diaphragme, qui se trouve à l’intérieur de l’objectif, permet lui aussi de modifier la quantité de lumière qui arrive au capteur.

On peut le comparer à un œil qui s’ouvre plus ou moins pour laisser passer la lumière.

S’il s’ouvre grand, la lumière rentre logiquement en abondance. A l’inverse, s’il s’ouvre petit, seul un mince filet de lumière rentrera.

L’ouverture s’exprime en « f/ » suivit d’un chiffre. Ce qui est un peu compliqué à assimiler, c’est que plus l’ouverture du diaphragme est grand, plus le chiffre qui suit le « f/ » est petit.

Voici un schéma qui sera plus explicatif :

Le couple vitesse / ouverture

Vitesse et ouverture travaillent en interaction pour gérer la quantité de lumière. Il est donc important de savoir gérer ces deux paramètres.

Pour obtenir plus de lumière, allez-vous augmenter votre temps de pose ou fermer davantage votre diaphragme ? Tout ça va dépendre du résultat que vous souhaitez obtenir.

La sensibilité (ISO)

L’ISO est le troisième facteur de lumière. Il s’agit de la sensibilité du capteur de votre appareil photo face à la lumière. Cette sensibilité est quantifiée par un nombre : 50, 100, 200, 400, 800… allant jusqu’à 3200, voir plus pour certains boîtiers haut de gamme. L’ISO fait parti des trois réglages clefs avec la vitesse et le diaphragme pour gérer la bonne quantité de lumière.

Plus vous choisissez un ISO élevé, plus la vitesse de prise de vue sera rapide, ce qui est intéressant dans les mauvaises conditions de lumière. Cependant, un ISO élevé possède un inconvénient non négligeable : l’apparition de bruits sur vos photos. Ce qu’on appelle « bruit », ce sont les petits points qui viennent altérer la qualité de vos photos leur faisant perdre leur netteté. Bien que dans certains cas, l’ajout de bruit volontaire offre un effet esthétique, en photographies culinaires, il vaut mieux chercher à l’éviter. C’est pourquoi, vous ne devrez pas dépasser l’ISO 200 ou 400.

Exercices pratiques :

  • Pratiquez, pratiquez et pratiquez : Prenez en photo des objets afin de mettre en application le couple ouverture / vitesse. Changez votre ouverture, puis la vitesse. L’idée est de tester et de comprendre ce qui se passe. Voyez également jusqu’à quelle vitesse vous pouvez prendre vos photos à main levée sans obtenir de flou. Notez sur un calepin vos réglages et notez les résultats obtenus.
  • Intégrez ensuite la notion de l’ISO en le modifiant. Vous verrez ainsi quel résultat cela donne à vos photos.

Le choix de la lumière

Ce paragraphe va être traité très rapidement : en photographie culinaire, il n’y qu’une seule lumière qui puisse compter : la lumière naturelle ! Par pitié, oubliez les lampes artificielles et le flash, prenez le temps de prendre vos photos en pleine journée, quitte à baisser votre rythme de publication. Une belle et bonne lumière est essentielle pour obtenir de beaux clichés. Il n’y a pas de secret là-dedans.

Préférez réaliser vos photos entre 10 h et 15 h (selon la saison), pour obtenir un éclairage optimal.

Emplacement

Chez vous, choisissez la pièce la plus lumineuse. Ne choisissez pas forcément celle où le soleil vient poser ses rayons car les photos prises risquent d’être trop jaunes.

Posez vos plats près d’une fenêtre, sur une table, ou par terre si cela est nécessaire (ne rigolez pas, c’est ce que je fais :)). J’ai fait de nombreux essais avant de trouver ma pièce et mon endroit.

Une fois l’endroit choisi, il est important de jouer avec la lumière : face à vous, sur votre côté, derrière vous. En fonction du placement de la source lumineuse, l’aspect du plat va changer.

Par exemple, vous remarquerez facilement que selon l’orientation de la lumière, ces chocolats vont prendre plus ou moins de relief et plus ou moins de brillance.

Exercices pratiques :

  • Vous devez vous rendre compte de l’importance de la lumière dans vos photos. Prenez des biscuits et placez-les à côté d’une fenêtre, déplacez si nécessaire une table, posez-vous par-terre sur un tissus et prenez quelques clichés en tournant autour de votre sujet. Voyez comment la lumière va jouer sur les biscuits. Selon sa position, la lumière révélera le relief des biscuits ou au contraire l’aplatira.
  • N’hésitez pas à changer de pièce, à trouver l’endroit de votre maison qui apporte la plus jolie lumière.

La profondeur de champs et la mise au point

La profondeur de champs et la mise au point sont les deux derniers points techniques à connaître pour savoir faire de la photographie. Vous allez voir, ces notions sont plutôt simples à comprendre.

La profondeur de champs

Ce qu’on appelle « profondeur de champs », c’est la répartition du flou et de la netteté sur une image. On m’a déjà demandé comment je réalisai mes flous, s’il s’agissait d’une retouche : la profondeur de champs se fait grâce à l’appareil photo et plus précisément grâce à l’objectif.

Je vais revenir à une notion que j’ai expliquée ci-dessus : l’ouverture ! On a vu que l’ouverture jouait sur la luminosité d’une image. Elle joue également sur la profondeur de champs.

Lorsque l’ouverture est grande (exemple : f/1,4, f/2, f/2,8, f/4), la profondeur de champs est faible (et la vitesse plus rapide). La zone de flou sera très présente sur l’image, laissant une fine zone de netteté.

Lorsque l’ouverture est petite (exemple : f/11, f/16, f22), la profondeur de champs est grande (et la vitesse plus lente). L’image paraîtra nette sur une plus grande surface.

La profondeur de champs est déterminée par le choix de l’ouverture mais également par la distance du sujet par rapport à l’appareil photo : Pour une même ouverture, plus vous êtes proche de votre sujet, plus la profondeur de champs est réduite ; plus vous êtes éloigné de votre sujet, plus la profondeur de champs est grande.

Pour exemple, voici trois photos prises à 3 ouvertures différentes. Voyez que plus l’ouverture est petite et plus la photo parait nette dans son ensemble.


La mise au point

Régler la mise au point permet de déterminer les zones de flou et de netteté. Vous pouvez la faire manuellement en tournant la bague de votre objectif ou automatiquement grâce à l’autofocus.

D’une manière générale, préférez pour la photographie culinaire l’autofocus. Sur l’écran de votre compact ou dans le viseur de votre reflex, vous remarquerez des repères comme ceci :

C’est ce qu’on appelle des collimateurs. Vous pouvez, avec des boutons de votre appareil, sélectionner le collimateur qui vous intéresse afin de faire la mise au point à un endroit précis de la scène.

Voici 2 exemples :

La mise au point de cette photo ci-dessous s’est faite sur la verrine du fond. Voyez sur la photo de droite comment sont placés les collimateurs. Le collimateur rouge correspond a celui qui a été sélectionné pour ma mise au point.

Autre exemple, cette fois-ci, j’ai choisi de faire ma mise au point sur la verrine de devant.

Le Bokeh

Ce terme ne vous parle sûrement pas et pourtant vous en voyez tous les jours sur mes photos. Le bokeh correspond tout simplement au flou de l’arrière-plan. On obtient ce flou grâce au choix de l’ouverture. Nous l’avons vu plus haut, plus l’ouverture est grande (chiffre petit), plus votre arrière-plan sera flou.

Les bokeh permettent également de réaliser des arrières-plan magiques si l’on place des petites sources lumineuses en arrière plan, comme une guirlande électrique. Un exemple très parlant, cette photo ci-dessous.

J’ai utilisé une ouverture à f/2.

Exercices pratiques :

  • Comprenez la profondeur de champs : Prenez 2 ou 3 objets et placez-les sur une table. Faites la mise au point sur l’objet qui se trouve devant vous en changeant l’ouverture à chaque cliché : f/2, f/2.8, f3.5 … f/11, f/16. Voyez le résultat ensuite sur votre ordinateur. Quelle conclusion pouvez-vous en tirer ? Voyez-vous comment l’ouverture joue sur la profondeur de champs et la luminosité ?
  • Maîtrisez la mise au point : Toujours avec ces mêmes objets, amusez-vous à changer le collimateur et réalisez une mise au point différente à chaque cliché. Voyez le résultat sur votre ordinateur.


Les modes d’exposition

Tous les appareils photo proposent différents modes d’exposition, les voici expliqués.

Les modes auto et modes scènes

Vous trouverez sur tous les appareils des modes programmés. Tout le monde peut prendre des photos car c’est l’appareil photo qui se charge de tous les réglages. Et c’est bien là le seul avantage. Mais je vois surtout deux gros inconvénients :

  • Pas de progression possible
  • Pas de contrôle sur le rendu final de la photo

Vous l’aurez compris, je suis réfractaire à ces modes. Si vous souhaitez vraiment améliorer vos photos, prenez votre courage à deux mains et laissez tomber ces modes.

Le mode Av (A)

On appelle ce mode « Priorité ouverture ». Vous allez pouvoir choisir l’ouverture pour jouer sur la profondeur de champs et votre boîtier se chargera seul de choisir la vitesse d’obturation.

Attention cependant, ce mode possède ses limites, que votre appareil ne manquera pas de vous signaler :

  • Soit parce la vitesse nécessaire ne peut être obtenue pour l’ouverture choisie à cause d’une trop forte lumière.
  • Soit parce qu’il fait trop sombre, dans ce cas vous aurez un flou de bougé car la pose sera trop lente.

Ce mode peut être utilisé pour la photographie culinaire car il est intéressant de jouer sur la profondeur de champs pour mettre en valeur un plat.

Le mode Tv (S)

On appelle ce mode « Priorité vitesse ». A l’inverse du mode Av, c’est vous qui gérez la vitesse et le boîtier adaptera l’ouverture pour apporter la bonne dose de lumière.

Ce mode possède les mêmes limites que le mode Av. Si la luminosité est trop forte ou trop sombre et que le boîtier n’arrive pas à obtenir la bonne exposition, il vous le signalera.

Ce mode est intéressant lorsqu’on prend des choses en mouvements, cependant en photographie culinaire, il n’est pas utile.

Le modes M

Il s’agit du mode Manuel. Vous réglez tout : la vitesse et l’ouverture. C’est le mode que j’affectionne et que j’utilise tout le temps. Certes, vous allez mettre un certain temps avant de le maîtriser car il faut comprendre le couple ouverture / vitesse. Mais il permet de vraiment progresser et de contrôler complètement le rendu final de la photo.

Lorsque j’utilisai mon compact, je passai par le mode « Priorité ouverture », sans jamais comprendre comment ça marchait. A partir du moment où j’ai changé pour un reflex, je me suis mise en manuel afin de progresser. Et je ne reviendrai pas aux modes semi-automatiques (Av, Tv). Mais c’est une affaire de goût.


La balance des blancs

La balance des blancs permet de définir la colorimétrie (la température) de l’image. On peut la gérer à la source, dans les réglages de l’appareil photo, ou en post-traitement mais sous certaines conditions.

La notion de température de couleur

On mesure la température de couleur en Kelvin et elle est représentée de cette façon :

Elle permet de mesurer la température de la source lumineuse. En changeant cette température, vous allez pouvoir rendre vos photos plus ou moins froides afin d’obtenir une température neutre qui reflète la réalité ou qui améliore la réalité.

Voyez ces trois photos ci-dessous. La photo de gauche est très chaude (jaune), celle du milieu possède une juste température de couleur qui reflète bien la lumière naturelle de ma pièce, à droite la photo est très froide (bleue).

Les réglages pré-enregistrés

Le choix du réglage de la balance des blancs va permettre à votre appareil photo d’en déduire la bonne température de couleur en fonction de la lumière extérieure.

  • Lumière du jour : en plein air ou dans un intérieur lumineux
  • Nuageux/Ombre : en plein air avec un ciel voilé
  • Lumière Tungstène : pour les éclairages incandescents
  • Lumière fluorescente blanche : pour les éclairages au néon ou halogène
  • Flash : pour les éclairages au flash

En photographie culinaire, utilisez « Lumière du jour » (voir « Nuageux » si votre intérieur est froid). Les autres modes ne nous intéressent pas.

Le post-traitement de la balance des blancs

Si vous shootez en JPG, vous aurez assez peu de recours en post-traitement pour corriger la balance des blancs. Mieux vaut donc bien la choisir dès le début avec votre appareil photo.

Si vous shootez en RAW (voir la rubrique Le format de la prise de vue), vous n’aurez pas à vous soucier de la balance des blancs puisque vous pourrez très facilement la corriger avec un logiciel sur votre ordinateur.

Exercices pratiques :

  • Testez la balance des blancs en pleine journée : réalisez les photos d’un objet en changeant les pré-réglages de l’appareil.
  • Testez la balance des blancs la nuit : éclairez un objet avec une lampe halogène ou un néon et réalisez différents clichés. Regardez le résultat obtenu sur votre ordinateur et voyez comment la température de couleur est gérée.


La mise en scène et le cadrage

Cette fois-ci, nous en avons fini avec la partie technique ! Maintenant, nous allons aborder ensemble toute la partie mise en scène et cadrage de vos photos culinaires. Nous allons faire un peu plus appel à votre sensibilité.

L’emplacement

Nous avons vu plus haut qu’il était préférable de réaliser vos photos à côté d’une fenêtre pour avoir une belle source lumineuse.

Mais faites également attention à votre environnement. Nous n’avons pas envie de voir votre canapé, votre poubelle ou votre télévision derrière votre plat. Placez vous contre un mur d’une couleur unie (si possible) ou créer vous-même votre fond avec une planche en bois peinte ou recouverte d’un tissus.

Il faut que le plat soit mis en valeur dans votre image. Notre regard ne doit pas être dérangé par un objet qui n’aurait pas lieu d’être sur une photo de cuisine.

La mise en scène

La mise en scène d’un plat doit faire appel à votre ressenti. Quel message souhaitez-vous faire passer au travers de votre photo ?

La mise en scène, c’est savoir où poser tel ingrédient, comment mettre en valeur le plat, trouver les bons accessoires, la bonne couleur de tissu : rendre la photo harmonieuse et le plat alléchant.

Il y a des plats qui inspirent bien plus que d’autres. Le sucré est toujours plus intéressant à prendre en photo, toujours plus facile à rendre gourmand qu’un plat mijoté. Cependant, tout peut être sublimé.

Il ne faut pas trop en faire dans votre mise en scène. Ajouter quelques éléments, oui, mais il ne faut pas surcharger votre image. Votre plat doit rester l’élément principal. Pensez aux tissus, à placer quelques ingrédients qui entrent dans la composition de la recette. Pensez également aux rappels de couleur.

Récupérez petites boites, cagettes, conserves, pots en verre… Réfléchissez avant de jeter.

Et pour progresser, regardez un peu les blogs, les sites, les livres et les magazines dont les photos vous plaisent et voyez un peu comment sont réalisées les mises en scène… Notez ce qui vous plaît.

Il faut aussi savoir se remettre en question et avoir un regard sur ses photos même si ce n’est pas toujours évident. Ainsi, on peut lister ce qui va ou ne va pas. Au fil du temps, vous allez vous améliorer et connaître les associations qui marchent.

Ne vous précipitez pas ! Être blogueur culinaire signifie qu’il faut vous organiser. Vous ne pouvez pas faire votre recette pour la servir dans 10 minutes et réaliser vos photos entre temps : votre travail sera bâclé et votre mise en scène ratée. Il faut accepter de vivre un peu en décalé, de manger réchauffé ou après les autres. Et oui, ce n’est pas toujours simple ! Vous pouvez aussi réaliser votre recette dans une quantité un peu plus importante pour la prendre en photo un peu plus tard.

Avec le numérique, on a beaucoup de chance, on peut prendre beaucoup de photos alors n’hésitez pas à changer votre cadrage (voir ci-dessous), à tourner (si c’est possible) autour de votre sujet, à changer l’ouverture… Bref, n’hésitez pas à tester pour n’en sélectionner au final que 3-4.

Le cadrage

Je l’ai écrit un peu plus haut : variez vos cadrages. Mettez-vous à la hauteur de votre plat, un peu au-dessus, sur les côtés. Varier les vues permet de trouver celles qui conviennent le mieux au rendu souhaité, mais aussi de montrer le plat sous toutes ses coutures.

En photographie, d’une manière générale, il est bien de ne pas mettre en plein milieu de la photo l’élément sur lequel vous faite la mise au point. Préférez le décentrer un peu sur la droite ou sur la gauche, un peu plus en haut ou en bas. Il en est de même pour un plat. La photo aura plus d’intérêt.

Il est également intéressant de prendre des photos plus ou moins proche de votre plat pour montrer un élément particulier. Se rapprocher de son sujet est un moyen de le montrer différemment. Vous pourrez plus ou moins le faire en fonction de l’objectif que vous possédez. Pour les compacts, n’oubliez pas de mettre le mode « macro », symbolisé par une petite fleur. Il vous permettra de vous approcher un peu plus tout en gardant la netteté.

Exercices pratiques :

  • Cherchez chez vous un emplacement adapté à vos photos culinaires : lumineux, contre un mur, sur un plan de travail ou une table neutre. Fabriquez vous-même votre fond avec une planche en médium si vos murs ne vous conviennent pas.
  • Changez vos cadrages : lors de vos prochains shooting, pensez à ne pas centrer votre plat et à le mettre un peu plus à gauche, un peu plus à droite, un peu plus en haut ou en bas. Bref, décentrez ! Changez pour cela vos collimateur.
  • Si vous n’êtes pas à l’aise avec la mise en scène ou que vous n’êtes pas inspiré, ne vous forcez pas à ajouter des éléments à vos images. Ils ne paraîtront pas naturels. Allez-y par petite touche : une petite serviette ou un bout de tissus, quelques herbes …

Le format de la prise de vue

Avant de prendre vos photos, il est important de choisir comment vous allez prendre vos photos (paysage ou portrait ?), quel format d’image utiliser (jpg, tiff ou raw ?), et comment vous allez redimensionnez vos photos pour les adapter à votre blog. Ce sont ces trois points que je vais aborder dans cette rubrique.

Les formats d’image

Le format d’image correspond à l’extension du fichier enregistré sur votre carte mémoire : .jpg, .raw (.nef chez Nikon ou .cr2 chez Canon) et .tiff. Je vous présente les avantages et les inconvénients de chacun de ces formats.

Le .jpg

Avantages :

  • C’est le format le plus couramment utilisé.
  • Tous les logiciels savent le lire.
  • Il offre une image légère grâce à son système de compression.

Inconvénient :

  • Il détériore la qualité de vos images par son système de compression. A chaque enregistrement, votre logiciel va vous proposer de choisir un taux de compression. Plus vous compressez, plus votre image est légère mais plus votre image est dégradée. Les pixels de votre photo se détériorent toujours plus à chaque fois que vous l’enregistrerez. Il s’agit d’une compression destructive. Il faut donc travailler le moins possible votre image et trouver le juste équilibre qualité/poids.

Le Raw

Avantages :

  • C’est un format brut non compressé qui enregistre les données de votre prise de vue. C’est à dire qu’en post-traitement, vous pourrez changer les réglages que votre boîtier propose (balance des blancs, luminosité, style de l’image, ombre, surbrillance…) tout en gardant votre image brut originale intacte.
  • C’est le format utilisé par les professionnels car il offre une maîtrise totale du post-traitement de la photo. C’est également ce format-là que j’utilise.

Inconvénients :

  • Ce format n’est pas proposé sur tous les appareils photos.
  • Il est reconnu par très peu de logiciels (Photoshop, logiciels vendus par les marques de reflex).

Le .tiff

Avantages :

  • C’est un format non compressé et non destructif.
  • Il permet de gérer plusieurs profils colorimétriques.
  • Il est reconnu par bons nombres de logiciels.

Inconvénient :

  • Ses images sont très lourdes, trop lourdes pour les mettre sur Internet.

La prise de vue : paysage ou portrait ?

D’une manière générale, nous prenons plus naturellement nos photos au format paysage (à l’horizontal) car la prise en main de l’appareil photo est adaptée. Cependant le format portrait (vertical) est intéressant pour 2 raisons :

  • Pour la même largeur, vos photos seront plus imposantes au format portrait.
  • C’est également le format couramment utilisé dans les livres de cuisine, il parait donc plus naturel.

J’ai longtemps opté pour le format paysage, comme une grande majorité de personnes. Cependant, j’ai changé pour le format portrait qui me paraissait plus adapté à mon blog. Les images ont plus d’impacts, prennent plus de place et illustrent mieux la recette.

C’est une affaire de goût, selon votre blog et vos envies. Au début, il ne va pas vous être évident de tenir votre appareil photo à la verticale, mais avec le temps ça devient une habitude et ce sera le mode paysage qui vous paraîtra moins naturel !

Si vous pensez que vos photos ne méritent pas d’être agrandies pour vos lecteurs à cause de la qualité médiocre qui résulte de votre appareil photo (modèle bas de gamme par exemple), dans ce cas, mieux vaut garder le format paysage.

La taille de la prise de vue

Il m’est arrivé de voir sur des blogs de cuisine les photos réduites sur lesquelles il faut cliquer pour les voir dans leur résolution d’origine. C’est vraiment une erreur : non seulement on n’a pas le réflexe de cliquer sur la photo, mais en plus cela ne met pas du tout en valeur la recette.

Réduites, les photos n’ont pas d’impact et n’interpellent pas le lecteur. On ne voit pas les détails du plat, ni la mise en scène. Votre lecteur passe à côté.

Grand format (c’est à dire, sortie directement depuis l’appareil photo), la photo est d’une qualité plus que médiocre car lire une image à 100% de sa résolution d’origine, ça ne se fait jamais !

Il faut donc redimensionnez vos photos en adaptant sa largeur à votre blog.

Il n’est pas nécessaire de mettre à 100% de la largeur de votre blog, surtout si la photo qui en résulte ne présente pas une qualité exceptionnelle. Mais éviter de mettre une photo de 150 px de large.


Le post-traitement

Ce qu’on appelle « Post-traitement », c’est l’ensemble des retouches que l’on apporte aux photos, comme l’ajout de luminosité, de contraste…

La sélection des photos

Lorsque vous avez fini votre séance de shooting, il est temps de passer à l’étape de la sélection des photos.

Vous allez d’abord réaliser une première sélection en jetant toutes les photos floues et/ou mal cadrées. Ne gardez que celles qui vous interpellent et qui vous plaisent.

La seconde sélection (sélection finale) se fera à la fin des post-traitements des photos. Selon la longueur de vos articles et la façon dont vous aimez les illustrer, limitez-vous à un certains nombres : celles qui mettent au mieux votre plat en valeur.

Les post-traitements possibles à apporter

Lorsque vos photos sortent de votre appareil, il y a toujours des petites corrections à apporter. Je vous propose une petite liste de ce qui est possible de faire (plus ou moins facilement selon le format de votre image, jpg ou raw.

Cependant, pour tous ces réglages, il faut procéder par petites touches, sinon cela se verra et vous risquez d’obtenir l’effet inverse escompté, à savoir sublimer votre photo.

  • Plus ou moins de luminosité : Il est très facile d’ajouter un peu plus de lumière à une image ou de l’assombrir. Attention toutefois à ne pas tomber dans l’excès. Sur un fichier raw, la photo gardera facilement sa qualité ; Sur un jpg, la qualité peut facilement se dégrader. Il est quand même plus prudent de bien exposer dès le début avec l’appareil photo.
  • Un peu plus de contraste : ce réglage va rendre l’image plus percutante. Allez-y doucement quand-même.
  • Un peu plus de vibrance : vous ne connaissez peut-être pas cette notion car elle n’est pas proposée par tous les logiciels. Par contre, si je vous parle de saturation, cela vous parle plus. Cependant, il existe une différence entre les deux. Là où la saturation va booster toutes les couleurs de l’image, la vibrance ne va s’occuper que des couleurs qui en ont le plus besoin (couleurs pastel), tout en conservant les tons clairs. Le résultat est beaucoup plus naturel.
  • Changement de la température de couleur : si vous shootez en raw, il vous sera très facile de modifier la température de couleur en déplaçant un simple curseur.
  • Ajout de la netteté : Il est très facile avec les .raw de rajouter de la netteté tout en gardant une belle qualité d’image. Avec les .jpg, c’est un peu plus compliqué car ça fait ressortir les défauts liés à la compression. Il faut savoir la maîtriser et ne pas en abuser. Cependant, si votre photo est floue à la base, il n’y a pas de miracle, jetez-la.


Mes quelques conseils

  • La photographie en général est devenue ma seconde passion. C’est bien simple, je ne sors plus jamais sans mon appareil photo. C’est un point qui vous permettra de vous améliorer, de réaliser des tests et de maîtriser votre appareil photo.
  • N’abandonnez pas si vous trouvez que vous n’évoluez pas, ça prend plus ou moins de temps. Mais si l’envie est là, il n’y a pas de raisons que vous n’y arriviez pas.
  • Il faut bien vous dire que votre appareil photo joue également dans la qualité de vos photos. Si votre compact est « bas de gamme », vous ne pourrez pas évoluer.

Aller plus loin

Avec cet article, j’ai survolé les toutes premières bases de la photographie, mais il y a bien plus à apprendre sur la photographie culinaire. Si vous voulez allez plus loin, je vous invite à lire mon livre La photo culinaire à savourer des yeux. Pour le découvrir un peu plus avant de l’acheter, j’ai rédigé cet article de présentation.

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118 commentaires

  1. Bon ben j’ai plus qu’à faire les exercices pratiques ! Merci pour tous ces conseils bien utiles !

  2. ralala génial cet article! Pour l’instant je n’en ai fait qu’une lecture en diagonale mais il va être ma lecture du soir. Je fais souvent une vingtaine de photos de chacune de mes réalisations pour choisir la meilleure dont déjà 15 plus ou moins floues selon la lumière. Pas facile ^^!
    Grâce à toi je vais peut-être enfin pouvoir faire des photos de meilleure qualité! MERCI
    et au passage je te souhaite mes meilleurs voeux! que tu continues de nous faire rêver avec tes aussi belles que succulentes réalisations. Ce wknd, j’ai fait les tartelettes au citron meringuées … un pur délice… ton lemon curd est une tuerie, et le reste aussi d’ailleurs!!
    bisous

  3. et bien dis donc! quel article complet!! (et quel boulot de rédaction j’imagine! 🙂 )
    un grand merci pour toutes ces précisions!

    même si je ne fais pas forcement de photo culinaire, j’apprécie souvent d’en regarder et les conseils donnés ici, peuvent de toutes façons servir dans d’autres cas!

    et au niveau matériel tu utilises quoi ? (appareil et objectif)

    merci encore!

  4. Juste au moment où je viens (re)chercher ces informations sur ton blog !
    Je cherche vainement à faire des photos à fond flou, je viens d’acheter un apn (kodak m580) mais je ne trouve pas où régler l’ouverture dessus grrr (il n’a l’air de proposer que l’ouverture automatique) et le livret fait genre 15 pages qui sont presque toutes consacrées au net-sharing…
    Je suis blasée car je l’ai acheté pour ça :/

  5. Article très intéressant et très complet!!
    Malheureusement de mon côté je ne suis prête d’évoluer! Dans mon nouvel appartement presque aucune source de lumière naturelle… C’est déprimant :((((

  6. Très intéressant ! Je vais peut être faire des progrès en photo avec ces astuces.
    Merci beaucoup pour cet article

  7. Je veux bien te croire que tu y as passé un temps fou !! C’est vraiment complet et très détaillé, on est gâté !!!
    Merci à toi de nous avoir expliqué tout ça si bien =)

  8. Super article! Merci pour toutes ces explications et ces bons conseils!! J’essaye de me familiariser avec toutes ces données depuis quelques semaines… En espérant que les progrès se feront ressentir sur mes photos! ^^
    En tout cas merci!!!

  9. Merci beaucoup pour tous les conseils!! Je viens justement d’acheter un appareil reflex, ça va bien m’aider!!!

  10. Tres bon article car c’est vrai qu’on se perd rapidement dans l’ouverture, la vitesse, l’obturation etc. Mais moi j’aimerais bien savoir ce que tu as comme APN parce que je trouve tes photos vraiment très réussi, et ça donne envie d’investir…

  11. merci beaucoup pour ce super article, très complet.
    Je viens de m’acheter un « bridge » et je vais sans faute « m’essayer » sur
    ce type de photos

    merci et bravo !!!

  12. Waouh, je vais garder précieusement ton article comme référence ! J’ai reçu un très beau cadeau de Noël, un Lumix FZ45, et il y a plein de possibilités qui me laissent encore perplexe. Là tu m’a permis de défricher une bonne partie des notions qui m’étaient encore obscures, alors MERCI ! Plus qu’à m’entrainer en mode Manuel ^^

  13. génial cet article! et j’ai bien deviné que c’est une seconde passion! car je suis réellement en admiration devant toutes tes photos (j’en mets souvent sur mon bureau en fond d’écran!)hélas ,je n’ai qu’un appareil basique qui trouve vite ses limites…Merci pour ce très bon article

  14. Mille mercis pour cet article précis, concis et pas barbant ! Voilà
    de quoi y voir plus clair et je vais le garder pour y revenir au fur et à
    mesure de mes progrès. Vos photos sont géniales, dignes des fiches
    de Elle.

  15. Mille mercis pour cet article que j’attendais de trouver depuis bien longtemps ! Je suis encore au stade « j’ai un bridge et j’utilise le mode ouverture à chaque fois mais je sais pas pourquoi » 😀 J’envisage de passer au reflex très bientôt.

  16. Merci beaucoup pour ton article, c’est vraiment très bien expliqué, ça me donne envie de progresser, trop chouette! Je garde ton article sous le coude pour faire les exercices. J’ai déjà fait des réglages sur mon appareil. Excellente soirée

  17. Bonsoir!

    Je suis votre blog depuis bien longtemps maintenant et j’ai pour passion la photo depuis pas mal d’années, je possède d’ailleurs un reflex.
    Je voulais ajouter un commentaire au sujet de la classification des appareils dans cet article: les compacts à objectifs interchangeables ou apapreils hybrides sont en fait en terme de qualité entre les bridge et les reflex. Ils ont la taille et en partie la technologie du compact mais un capteur bien plus grand: de fait la qualité d’image est similaire à la qualité de rendu des capteurs reflexs, variant donc en prime avec la qualité de l’objectif qui est associé à l’appareil. Ces appareils sont de bons compromis, surtout en terme de taille et de poids. Evidemment, ils n’ont pas de viseurs et ne pourront pas remplacer des reflexs haut de gamme mais voilà, je tenais à ajouter des précisions, votre article laissant penser qu’ils sont moins bons que des bridges et surtout en deça, ce qui est tout le contraire (d’où leur prix d’ailleurs!).

    Amicalement
    Cécile

  18. Merci Chef NINI pour cette belle leçon de photo , en plus de tes talents culinaires tu nous fais là une belle leçon, que tous ceux qui possèdent un appareil devraient prendre le temps de lire.
    Au passage , j’ai testé les macarons au Mars , un vrai régal !

  19. Merci pour cet article très précis et intéressant, je vais l’étudier en détail car j’aimerais améliorer mes photos, la plupart sont faites le soir, et ça je ne sais pas si je peux y changer quelque chose car à midi je n’ai pas le temps..
    Merci encore!

  20. Un cours de photographie m’en aurait moins appris que ton article magistral.Si après t’avoir lue,nous ne réunissons pas nos photos,c’est que nous sommes nulles.Bravo,ton blog se renouvelle sans arrêt,chaque jour nous apporte de nouvelles idées de ta part,des articles complets sur les sujets les plus divers.Chapeau,tu iras loin,ce n’est pas étonnant que chaque jour de nouveaux internautes visitent ton blog.Vivement ton prochain bouquin avec un peu de salé,s’il te plaît.Merci pour tout.

  21. Merci beaucoup pour cet article, vraiment très clair.
    J’ai lu en diagonale mais dès demain à tête reposée je lirais tout ça plus en détails et ferait les petits exercices pour les mettre en pratique.

  22. J’ai lu en diagonale, mais je vais revenir tout lire! Ça m’intéresse beaucoup et j’aimerais vraiment améliorer mes photos! Merci pour cet article!

  23. Bonjour Cécile,

    Merci pour ton complément d’informations !
    Je pense que tu as mal interprété mes propos car je précise qu’il est préférable de prendre un compact ou un reflex plutôt qu’un bridge.

    Il me semble que les compacts à objectifs interchangeables n’ont pas tous un grand capteur, en fonction des marques. Mais tu as raison, ils sont un bon compromis !

    Je te souhaite une bonne journée.

  24. hello
    j’ai le même lumix que toi, qui doit bien avoir 5 ou 6 ans maitenant. J’ai acheté depuis un NIkon reflex mais la technique photo me saoûle prodigieusement. Donc je fais au pif, je tente des trucs. Et je partage pourtant mon bureau avec un photographe qui a abandonné toute idée de m’enseigner quoi que soit. Je suis hermétique à la technique. je vais imprimer ton article pour voir si j’arrive à me concentrer dessus 🙂 la partie mise en scène m’interesse déjà plus.

  25. Je suis bien contente d’avoir changer ce Lumix pour mon reflex. Est-ce parce que je deviens plus exigeante sur la qualité ?

    La partie technique est primordiale pour progresser. C’est vrai qu’il y a beaucoup de choses à connaitre, à prendre en considération mais ça peut se faire petit à petit avec le temps.

    Je te souhaite une bonne lecture 😉

  26. En plus des recettes de cuisine, des cours de photos. Tu es trop forte chenini. Tu m’ as éclairé sur quelques points techniques. Me manque plus que le reflex lol.;-)

  27. Super article =)
    Je viens d’avoir (pour noel) un réflexe, un nikon, je commence à le prendre en mains, donc tes conseilles me sont très utile. J’ai juste un problème je sais pas comment réglé le « f » et l’ouverture… j’ai lu sur le manuel mais je trouve pas… =(

  28. Bonsoir Maureen,

    Le « f » et l’ouverture sont la même notion. Je suis désolée, je ne vais pas pouvoir t’aider à trouver le réglage sur ton appareil…

    Je te souhaite une bonne (fin de) soirée.

  29. Un grand merci pour cet article (que je garde précieusement). Effectivement, rien ne vaut les exercices pratiques et les essais. Autre point primordial : la lumière naturelle, que je ne respecte pas souvent car mon planning de maman m’impose la cuisine tardive 🙂 Il faut que ça change !!
    Bonne soirée
    Ccil

  30. Un grand merci pour ces précieux conseils!
    Tes photos sont superbes, la technique ne suffit pas, tu as le truc en plus!! Bonne journée. C

  31. C’est là que l’on voit que tu es une passionnée. Je fais découvrir ton blog à tout mon entourage et ils sont « scotchés » à chaque fois

  32. Très très interessant cet article, je vois que j’ignore plusieurs choses !!! Merci beaucoup et bonnes soirée.

  33. Je vous aime!! un GRAND merci pour vos conseils( sur tout hein! pas que la photo) j’apprends bcp bcp de choses!! cependant j’ai fait une commande pour un bridge voyant comment il est noté sur le net je me suis dit qu’il sera bien bien (trop tard pour annuler et prendre un reflex pressée comme je suis j’avais pas fait attention au départ pensant que c’était un reflex :((…je reste inconsolable) ceci dit je crois aussi que savoir prendre une photo joue un rôle important il ne suffit pas d’avoir un « bon » appareil… encore merci :))

  34. Bonjour Coccinelle,

    Je vous remercie pour votre commentaire 🙂 J’espère que vous n’allez pas regretter votre appareil et que vous allez vous amuser avec !

    Passez une bonne journée et à bientôt !

  35. Alors là félicitation Virginie pour cet article. Tu as su expliquer clairement et au plus grand nombre des notions qui paraissent souvent très obscures pour les non-initiés.

    Il est clair que la qualité de tes photos fait que l’on a encore plus envie de venir (et revenir) sur ton blog. Même si la recette ne me tente « pas plus que cela » je viens quand même voir les photos 🙂

    Question : Tes photos tu les fait bien avec un pied ? (à part peut être pour celle du résultat « final »).

  36. Merci beaucoup Xavier ! 🙂
    Je ne prends pas mes photos sur pied, toujours à main levée. J’ai suffisamment de lumière pour ne pas obtenir de flou de bougé et ça me permet en plus de bouger plus facilement autour de mes plats.

  37. Merci beaucoup pour tous ces conseils. L’important en plus de la technique, du coup d’oeil est de prendre de le temps. Bonnes photos culinaires à tous!

  38. Superbe article je l’ai paragé sur ma page Facebook consacrée à la photo culinaire, Merci encore 🙂 !

  39. Habituée à me plonger dans des sites spécialisées sur la photo, je ne m’attendais pas à découvrir un article aussi fouillé et clair sur un blog culinaire.

    Bon, d’accord, je suis conquise.

    Il y a un travail énorme derrière ce blog, félicitations.

    NowMadNow

  40. Bonjour,
    Je n’aurai qu’un mot à dire : Whouaaaaa !!!
    Génial cet article, merci beaucoup pour le partage…
    En fait, pour tout te dire, je souhaite très vivement améliorer la qualité des photos de mon blog (qui sont actuellement prises avec mon iphone…aie, là j’ai honte !!!). Et je compte donc investir dans du matèriel et acquérir un peu de technique (j’en suis pour l’instant au level 0 !).
    Comme toi je suis passionnée de photographie (et en particulier la photo culinaire), même si je ne suis pas du tout au même niveau que toi…! mais il faut bien commencer par le commencement 😉 J’adore contempler de jolies photos culinaires, et tu as raison de belles photos permettent tellement de mettre en valeur les recettes qu’il est vraiment dommage de faire « l’impasse » sur ces techniques. Comme tu l’as compris, j ‘aimerai grandement m’améliorer, c’est pourquoi j’ai tapé « photos culinaires » sur internet et que j’ai atteri chez toi (je connaissais déja ton blog via hellocoton :)).
    Merci pour tous ces conseils, je vai probablement débuter avec un compact (ce sera déja mieux qu’un iphone, hein ?!), et je vai de ce pas éxécuter tes petits exercices pratiques 😉
    A bientôt !
    Ellen

  41. Felicitations pour ce très joli blog !!!!

    Mille merci pour tes trucs photos c’est justement ce que je recherchais. Je suis très bien équipée mais c’est le matériel que je ne maîtrise pas très bien.

    Quels sont tes réglages pour obtenir ces photos très douces ? Je me mélange un peu avec les vitesses, les balances des blancs et l’ouverture.

    J’espère que tu m’aideras à progresser ……jusqu’à ton résultat final qui est magnifique.

    Encore merci
    Crystal

  42. Un grand merci pour cet article, il m’a été très utile pour réaliser les photos de mes plats, il est très bien construit ! Tu as tout à fait raison en ce qui concerne la qualité des photos de cuisine, lorsque je cherche un livre de cuisine, c’est quasiment toujours les photos qui m’aident à choisir.

    Je suis moi aussi une passionnée de cuisine et depuis peu de photographie culinaire, et je trouve ton blog génial, j’aime m’y promener régulièrement et regarder tes créations. Tu as du passer un temps fou dessus, le résultat est magnifique !

    Bonne journée 🙂 !

    PtiteMyrtille

  43. Plus rien à dire, toutes et tous ont dit ce que je pense
    Bravo Chef Nini, je vais me mettre à la pratique intensive de mon appareil, car certaines de mes photos laissent à désirer.
    Merci pour tout, ton blog est magnifique.
    Bisous Andrée

  44. bonjour Virginie !
    voila je viens d’acheter un Nikon Coolpix L810 et justement je voulais faire un bokeh je vois que tu en parles sur ton article alors quand je vai realiser ne serait-ce qu’un arriere-plan flou je n’y arrive pas tout reste nette pourtant j’ai chois f/5.9 si je prends f/3.5 qui est le minimum sur mon appareil je n’obtiens que du net est ce que c moi qui me positionne mal ??
    merci infiniment pour cet article tres interessant !

  45. Bonjour Samar,

    Essaie de te mettre à 200 ou 300mm et la a 5.9 tu pouras avoir un bon bokhè (flou d’arrière plan)…

  46. Bonjour Samar,

    Approche-toi de ton sujet, puis recule-toi en f/3.5 pour voir ensuite si tu remarques sur ton ordinateur une différence de flou d’arrière-plan entre ces 2 images. En 5.9, je trouve cela presque trop élevé et c’est plutôt normal que tu ais l’impression que tout soit net. Mais en 3.5, tu devrais remarquer une plus grande différence. Tu peux m’envoyer tes deux photos en répondant à l’email de ce commantaire, si tu veux.

    Es-tu sûre de ne pas pouvoir descendre en-dessous de cette ouverture 3.5 ? Parfois, si tu zoomes, l’ouverture minimale est plus élevée. Dézoome à fond et descend au plus bas ton ouverture pour voir si c’est toujours du f/3.5 qui est indiqué.

    Bonne journée.

  47. Je suis très épatée par cette article qui traite bien de tous les paramètres importants en photographie, de manière claire et illustrée. La photo est également ma passion et depuis peu, la cuisine.
    D’une manière générale, votre site est une mine d’informations très riches et vos photos illustrent à merveille vos recettes. Les compositions sont soignées et alléchantes. Un grand bravo !!!
    Bon après midi

  48. Un grand merci pour cet article. Je viens de découvrir ton site et c’est vrai que ce qui tape à l’œil (à part l’originalité de tes plats) sont les photos ! Elles sont superbes. Moi qui commence tout juste mon blog, ça va surement beaucoup m’aider. Même si je n’ai pas de super appareil, je vais faire de mon mieux avec tes conseils. Merci pour ta générosité. A bientôt peut-être…

  49. Bonjour,
    Je dois réaliser quelques photos culinaires pour illustrer des recettes et j’aimerais savoir si les pros rajoutent ou vaporisent quelque chose sur la présentation finale pour qu’elle paraisse plus appétissante, avec des couleurs moins ternes, surtout pour les sauces, les viandes…
    Merci pour tes conseils !

  50. Eh bien franchement, c’est l’un de mes articles préférés de la blogosphère mondiale! Moi qui veut me lancer dans la photographie culinaire, et qui économise en ce moment pour un reflex 1100D, je vais souvent consulter cet article Pour que je comprenne bien la technique et les mots de la photographie!

  51. Au début je me disais que cet article était son propre défaut : il était tellement bien fait que ça servait plus à rien d’acheter le livre de chefnini.
    J’ai quand même craqué pour le livre et je ne peux que vous recommander de poursuivre en achetant ce livre qui va encore plus loin.
    Je m’inspire beaucoup de ces précieux conseils et je pense que les photos de mes recettes (sans toutefois arriver à la cheville de celles ci) tendent à s’améliorer de jours en jours.
    Merci.

  52. Article génial ! j’ai d’ailleurs commandé votre livre ! même si j’ai l’impression qu’il y’a tout ici ! 🙂 J’ai quand même une question ! j’ai envie de partir faire une école de photographie à Montréal, pour notamment me diriger vers la cuisine culinaire.. Quel choix de reflex ? sans vraiment me ruiner non plus.. Merci ! 🙂

  53. Bonjour Roxane,

    Tu te rendras rapidement compte que le livre est beaucoup plus développé que cet article 🙂
    Pour un choix de reflex, je ne peux pas vraiment donner de conseil. Par contre, je peux tout simplement t’orienter vers le site http://www.lesnumeriques.com/ qui présente de bons comparatifs.

    Dans mon livre je donne quelques éléments de réponse sur ton choix d’appareil photo et d’objectif (bien plus important que le boîtier).

    Et si le coeur t’en dit, tu peux venir me donner ton avis sur mon article de présentation du livre : http://www.chefnini.com/la-photo-culinaire-chefnini/
    Ou sur le site Amazon si c’est sur ce site que tu as passé commande.

    Bonne journée !

  54. Bonjour Chefnini, je viens d’avoir pour mon anniversaire le Nikon D5100 avec deux objectifs et un trépied. Grâce à votre article, j’espère pouvoir progresser et faire des photos aussi belles que les vôtres. Je sais que ça me prendra beaucoup de temps, je suis une débutante mais j’espère pouvoir allier ma passion, la cuisine à la photographie! Je tenais à vous remercier pour tous vos articles et surtout celui ci qui est vraiment très bien expliqué!

    Longue vie à votre blog!

  55. Bonjour chefnini !
    voila j’aurais une question j’ai un appareil photo Nikon Coolpix L810 quand je prends les photos j’ai remarque qu’elle pesent jusqu’a 6 M je choisi HD mais quand je choisi VGA la qualite de la photo n’est pas belle du tout les couleurs ne sont pas presentes. Que faut-il faire pour avoir une belle photo mais qui pese aux environs de 130 Ko. Je le fais manuellement a chaque fois il faut que j’aille sur pain et diminue la taille des pixel a 550 mais c du travail de le faire manuellement.

  56. Bonjour Sissi,

    C’est un peu demander la lune que de chercher à avoir une super résolution d’image avec un poids aussi petit, il y a forcément dégradation. 🙂
    Pour mon blog, je travaille toutes mes images pour les redimensionner en 500px de large. Mais mes photos sorties de l’appareil sont en résolution d’environ 3000 x 4500 px. Et chaque fichier (au format RAW) pèse aussi très lourd (environ 20Mo).
    Le format VGA est une résolution de 640 x 480 pixels. Tu vois, ça n’a rien à voir.
    Pour toi, tu peux peut-être régler ta qualité de JPEG, souvent tu as 2 ou 3 niveaux.
    En fait, en quoi ça te dérange d’avoir des fichiers lourds, c’est pour ta carte mémoire ou ton pc ?

  57. Je te remercie pour la reponse ! ahh donc c normal. Je suis une novice je viens d’acheter un appareil. Bon alors je vais continuer a redimension mes photos 🙂
    au fait non c n’etait pas pour le disque dure c pour les envoyer a ma famille et a chaque fois fallait compresser ou alors les redimensionne 🙂
    Excellent Journee et au passage j’adore ton blog

  58. Bonjour Virginie,
    très bon article en effet et très complet. je viens d’acquérir un appareil et démarre un blog sur lequel je vais m’empresser d’appliquer tous tes conseils et techniques clairs et intéressants. Je souhaitais savoir une chose : sur quel logiciel travailles-tu pour retraiter tes photos ?
    Merci et bravo pour ton talent qui est indéniable !
    PS : j’ai découvert également un article te concernant dans un nouveau magazine paru ce mois-ci (je ne me souviens plus du titre…).

  59. Bonjour Missoaz,

    Merci pour ton commentaire. 🙂
    Pour te répondre, je travaille sur deux logiciels : Digital Photo Professional (logiciel vendu avec mon reflex) et Photoshop.

    Dommage que tu ne te souviennes plus du magazine, je ne suis même pas au courant qu’on parle de moi ! lol

    Bonne journée !

  60. une recette a faire fondre sur place et de plaisir !
    magnifique mise en scène, tu m’inspire beaucoup pour tes photos; tu utilise lequel le plus souvent pour faire tes photos? le 60 macro?
    pour un futur achat j’hésite bcp entre le 60 mm macro et le 100 mm macro non Is, que me conseille tu?
    merci d’avance pour ta réponse!

  61. Bonjour Céline,

    J’utilise que très rarement le 60 macro pour la photo culinaire. J’utilise un 35mm f/1.4 (sur un APS-C – c’est dont un équivalent 50mm sur un full-frame), mais ce n’est pas le même prix. 😀

    Si ton appareil photo est full-frame, tu ne pourras pas mettre le 60mm, c’est un EF-S, c’est à dire qu’il est exclusivement compatible avec les APS-C.
    Si tu as un APS-C, je te conseille le 60 mm, car un 100 mm correspondrait à 150 mm environ, il faudra avoir un bon recul pour prendre ta scène en entier.

    Donc en gros, si tu as un APS-C, prend le 60, si tu as un full frame prend le 100.

  62. Merci pour ta réponse aussi rapide Virginie
    J hésitais parce qu en fait il ne me ferais pas que l usage de la photo culinaire mais aussi photo d insectes. De fleurs etc d ou ma question, j ai deja le 50 mm 1.8 et je suis en aps-c avec le eos 600d. Mais parait que le piqué du 60 est meilleur que le100
    Merci a toi

  63. Bonsoir,
    je viens de recevoir mon bridge pour réaliser mes photos culinaires pour mon 2nd livre de recettes qui va sortir. <heureuse, je suis passée direct en mode manuel, et je suis arrivée à traaviller la profondeur de champ, ça c'est cool, merci pour votre site bien fait

  64. Bonjour Chef Nini !
    Mille mercis pour ce superbe article !
    J’ai acheté d’occas un canon eos 1000D et je commence à m’intéresser à la photo. Après étude du mode d’emploi qui m’a permis de bien comprendre les modes vitesse et ouverture, je me suis souvenue de votre article et maintenant je suis prête à attaquer le mode manuel !
    Une petite question, pour obtenir de jolis bokeh, quelle différence y aura-t-il entre un objectif 18-55 en f/3,5 et un mode macro avec un objectif 70-300 ? Ma question est peut etre un bête mais j’ai encore un peu de mal à comprendre le macro… !)
    Merci pour votre magnifique blog ! Bonne journée !

  65. Très bonnes informations, merci pour ce travail.
    Juste une question sur la témpérature des couleurs : n’y a-t-il pas une erreur sur la représentation car les couleurs sont froides à 1500°k et chaudes à 10000°k. Ce qui est le contraire dans représentation graphique. Merci encore pour votre travail.
    Cordialement,
    Nab

  66. Merci infiniment pour cette article ultra complet! Ca fait plaisir de voir que certaines personnes sont prêtes à partager leur bons conseils! il faudrait plus de blog comme le votre! Félicitations!
    Macha

  67. Merci bcp pour cet article et ces informations, j’en ai vraiment besoin pour mon blog

    Bravo

  68. Bonjour,

    Merci pour cet article

    Une question me taraude tout de même : avec quel matériel faites-vous vos photos ? car je vois des comparaisons d’ouverture et à 1.4 c’est déjà pas mal du tout, (sans faire débat de marques)

    Merci
    Bonne continuation,
    Cordialement,
    Bastien

  69. Bonjour Elbebert,

    L’ouverture n’est pas lié à l’appareil photo mais à l’objectif.
    À cet époque, je travaillais avec un 500D. Pour l’objectif, je ne sais plus s’il s’agissait de mon 24mm f.1/4 de Canon ou le 35mm f1.4 de la même marque .

    Quand l’image est plutôt petite comme ici, une aussi grande ouverture peut éventuellement passer mais ça reste quand même léger, le piqué est plutôt mou.

  70. Super site et magnifiques recettes ….
    Je vais vite en tester quelques unes 🙂
    J’adore la cuisine mais pas toujours le temps de prendre des photos en même temps.
    je vais essayer vos conseils 🙂

    Bien à vous.
    Marcus.

  71. Super article, juste ce que je cherchais ! Il ne reste plus qu’à faire les recettes et essayer de mettre en pratique tous ces conseils

  72. Bonjour, je n’ai pas pour habitude de déposer des commentaires, mais je ferai ici une exception car je n’ai jamais vu un article aussi clair, simple et pourtant précis sur les bases de la photographie. Félicitations et merci beaucoup !

  73. Merci beaucoup pour cet article détaillé et complet. Je tiens un blog de cuisine africaine http://www.senecuisine.com mais je ne faisais rien de tout cela ce qui est bien dommage. Je viens tout juste de me procurer un appareil reflex c’est vous dire que le chemin sera long pour moi. Merci donc d’avoir partagé ces idées.

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